Selon ABC News, le gouvernement Trump a accepté un don "inconditionnel" du Qatar d'un avion de luxe, sans stipuler comment l'avion devrait être traité après le départ du président Trump. Ce protocole a été signé plus tôt ce mois-ci par le secrétaire à la Défense américain Mark Esper et les représentants du Qatar. Selon CBS, des préparatifs pour la modification de l'avion sont en cours et il devrait devenir le "Air Force One" de Trump. Bien que cet accord ait suscité des critiques de la part des détracteurs de Trump et de certains alliés, qui l'ont qualifié de "corruption" par des puissances étrangères, la Maison Blanche soutient que l'utilisation de cet avion est légale et s'est engagée à le donner à sa bibliothèque présidentielle après le départ de Trump. Selon le protocole, cet avion sera donné "tel quel", sous la supervision du Pentagone pour toutes les modifications nécessaires avant de pouvoir être utilisé comme "Air Force One" du président. Avant que l'avion ne soit mis en service, des vérifications de sécurité sont également nécessaires, y compris le dépistage des dispositifs de surveillance ou d'espionnage.
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Selon ABC News, le gouvernement Trump a accepté un don "inconditionnel" du Qatar d'un avion de luxe, sans stipuler comment l'avion devrait être traité après le départ du président Trump. Ce protocole a été signé plus tôt ce mois-ci par le secrétaire à la Défense américain Mark Esper et les représentants du Qatar. Selon CBS, des préparatifs pour la modification de l'avion sont en cours et il devrait devenir le "Air Force One" de Trump. Bien que cet accord ait suscité des critiques de la part des détracteurs de Trump et de certains alliés, qui l'ont qualifié de "corruption" par des puissances étrangères, la Maison Blanche soutient que l'utilisation de cet avion est légale et s'est engagée à le donner à sa bibliothèque présidentielle après le départ de Trump. Selon le protocole, cet avion sera donné "tel quel", sous la supervision du Pentagone pour toutes les modifications nécessaires avant de pouvoir être utilisé comme "Air Force One" du président. Avant que l'avion ne soit mis en service, des vérifications de sécurité sont également nécessaires, y compris le dépistage des dispositifs de surveillance ou d'espionnage.