Le mot circule que la Suisse pousse fortement pour un nouveau cadre mondial destiné à dynamiser les marchés des crédits carbone via un système d’échange soutenu par l’ONU. L’objectif ? Canaliser davantage de capitaux vers les pays en développement, surtout maintenant que les financements climatiques traditionnels s’assèchent.
Le timing est intéressant. Les canaux d’aide traditionnels se resserrent, et les économies émergentes ont besoin d’alternatives rapidement. Ce mécanisme onusien pourrait être le pont : imaginez un marché structuré de crédits carbone qui transfère réellement des fonds là où il le faut, et pas seulement des promesses sur le papier.
Qu’est-ce qui différencie cette initiative des précédentes ? L’accent est mis sur l’exécution. La Suisse ne se contente pas de parler de cadres ; elle construit un soutien de coalition pour quelque chose qui pourrait être opérationnalisé rapidement. Les pays en développement pourraient accéder à une liquidité qui contourne le casse-tête bureaucratique de la finance climatique conventionnelle.
L’univers des crédits carbone est chaotique depuis des années : fraudes, double comptabilisation, projets sans impact réel. Mais si cette initiative lie les crédits à des résultats vérifiables et crée des rails de règlement transparents, elle pourrait véritablement fonctionner. Les acteurs de la blockchain lorgnent sur cette opportunité depuis longtemps ; désormais, les institutions traditionnelles rattrapent leur retard.
En résumé : cela pourrait transformer la circulation des capitaux climatiques à l’échelle mondiale. Reste à voir si l’initiative tiendra ses promesses ou deviendra un sujet de plus à l’ONU. Mais la pression est là, et les pays observent de près.
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SybilSlayer
· Il y a 5h
Le crédit carbone va encore être mis en place ? Pour être franc, ce piège a déjà été utilisé d'innombrables fois, et ce n'est que si cela se concrétise que cela sera étonnant.
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just_another_wallet
· Il y a 5h
En d'autres termes, c'est encore le même piège de l'ONU, la dernière fois le commerce du carbone était aussi bien présenté, et alors ? Ce n'est pas une multitude de projets fictifs.
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ApeWithNoFear
· Il y a 5h
ngl les crédits carbone ont toujours été BTC, combien en ont vraiment été mis en œuvre ? Si la Suisse peut rendre le Règlement off-chain transparent cette fois-ci, cela vaut vraiment la peine de suivre... mais je veux toujours voir des données concrètes.
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DecentralizeMe
· Il y a 5h
Encore des discours théoriques, l'argent réel sera-t-il disponible ?
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UnruggableChad
· Il y a 5h
Encore une fois, la Suisse fait des vagues. Ce système de commerce des crédits carbone peut-il vraiment être mis en œuvre ? J'en doute.
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rugpull_survivor
· Il y a 5h
Les crédits carbone vont encore faire des siennes, la dernière fois que j’ai entendu parler de ce système, j’y ai même perdu de l’argent...
Le mot circule que la Suisse pousse fortement pour un nouveau cadre mondial destiné à dynamiser les marchés des crédits carbone via un système d’échange soutenu par l’ONU. L’objectif ? Canaliser davantage de capitaux vers les pays en développement, surtout maintenant que les financements climatiques traditionnels s’assèchent.
Le timing est intéressant. Les canaux d’aide traditionnels se resserrent, et les économies émergentes ont besoin d’alternatives rapidement. Ce mécanisme onusien pourrait être le pont : imaginez un marché structuré de crédits carbone qui transfère réellement des fonds là où il le faut, et pas seulement des promesses sur le papier.
Qu’est-ce qui différencie cette initiative des précédentes ? L’accent est mis sur l’exécution. La Suisse ne se contente pas de parler de cadres ; elle construit un soutien de coalition pour quelque chose qui pourrait être opérationnalisé rapidement. Les pays en développement pourraient accéder à une liquidité qui contourne le casse-tête bureaucratique de la finance climatique conventionnelle.
L’univers des crédits carbone est chaotique depuis des années : fraudes, double comptabilisation, projets sans impact réel. Mais si cette initiative lie les crédits à des résultats vérifiables et crée des rails de règlement transparents, elle pourrait véritablement fonctionner. Les acteurs de la blockchain lorgnent sur cette opportunité depuis longtemps ; désormais, les institutions traditionnelles rattrapent leur retard.
En résumé : cela pourrait transformer la circulation des capitaux climatiques à l’échelle mondiale. Reste à voir si l’initiative tiendra ses promesses ou deviendra un sujet de plus à l’ONU. Mais la pression est là, et les pays observent de près.