Je suis convaincu que Bitcoin Cash (BCH) est la meilleure version de Bitcoin. Je ne suis pas arrivé à cette conclusion par le biais d’une expérience religieuse, loin de là. Après des années de réflexion, je reste persuadé que BCH n’est pas seulement cohérent avec la vision de Satoshi sur ce qu’était et comment devait évoluer Bitcoin, mais il me semble aussi que la position de Satoshi lui-même est en accord avec la réalité (c’est-à-dire, qu’il avait raison).
Pour Satoshi Nakamoto, la solution technologique décrite dans le whitepaper de Bitcoin répondait au besoin d’un moyen de paiement décentralisé et résistant à la censure, et telle qu’il l’a présentée, un réseau qui ne dépend pas de la bonne volonté de ses participants, mais de l’incitation économique qui permet aux honnêtes de faire face aux attaquants potentiels (qu’il faut toujours supposer présents).
En essence, c’est cela Bitcoin. Et la sécurité de ce Bitcoin tel qu’il était dans l’esprit de Satoshi Nakamoto ne repose pas sur le fait qu’un utilisateur exécute cinq nœuds non-mineurs, mais sur son système de proof of work (POW) ; autrement dit, c’est un Bitcoin dont la décentralisation se manifeste dans l’infrastructure sous-jacente formée par les mineurs.
Les mineurs, en tant que partie de ce système, sont des agents de marché fiables, non pas parce que Satoshi considérait que l’être humain était naturellement « bon », mais parce qu’il savait que les principes de l’économie priment sur les bonnes intentions puisqu’ils sont le reflet (que nous avons appris à connaître) de la réalité. Il est donc clair que je ne parle pas de l’actif que tout le monde connaît sous le nom de Bitcoin : je ne parle pas du Bitcoin-BTC.
La branche de Bitcoin que je défends
Quand je parle de Bitcoin dans les termes que j’emploie dans les paragraphes précédents, je fais référence à l’IDÉE qui a été formulée sous ce nom. Une idée avec un contexte historique et qui continue d’avoir des partisans. Cette idée vit toujours dans Bitcoin Cash (BCH). Que cela plaise ou non aux maximalistes du Bitcoin-BTC, BCH est une autre branche de ce projet. C’est la continuation de cette vision, et de la façon de penser qu’avaient les premiers bitcoiners.
Une branche qui, en 2017, est devenue un réseau P2P indépendant du Bitcoin-BTC (c’est-à-dire, une cryptomonnaie différente en termes de nom) même en sachant que cette décision impliquerait de devoir reconstruire une grande partie de l’infrastructure et reconquérir l’adoption qui avait été atteinte jusque-là. Mais c’est aussi une branche qui valorise suffisamment ces idées « classiques » pour les mettre en pratique.
C’est cela Bitcoin Cash (BCH), et je suis convaincu par ces idées. La vision de la branche Bitcoin Cash du projet Bitcoin en vaut la peine selon moi, car je sais que sa conception de BCH comme monnaie décentralisée pouvant être utilisée dans le monde entier comme moyen de paiement numérique est ce dont l’humanité aura besoin à moyen et long terme.
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Bitcoin Cash : une autre voie pour le Bitcoin
Je suis convaincu que Bitcoin Cash (BCH) est la meilleure version de Bitcoin. Je ne suis pas arrivé à cette conclusion par le biais d’une expérience religieuse, loin de là. Après des années de réflexion, je reste persuadé que BCH n’est pas seulement cohérent avec la vision de Satoshi sur ce qu’était et comment devait évoluer Bitcoin, mais il me semble aussi que la position de Satoshi lui-même est en accord avec la réalité (c’est-à-dire, qu’il avait raison).
Pour Satoshi Nakamoto, la solution technologique décrite dans le whitepaper de Bitcoin répondait au besoin d’un moyen de paiement décentralisé et résistant à la censure, et telle qu’il l’a présentée, un réseau qui ne dépend pas de la bonne volonté de ses participants, mais de l’incitation économique qui permet aux honnêtes de faire face aux attaquants potentiels (qu’il faut toujours supposer présents).
En essence, c’est cela Bitcoin. Et la sécurité de ce Bitcoin tel qu’il était dans l’esprit de Satoshi Nakamoto ne repose pas sur le fait qu’un utilisateur exécute cinq nœuds non-mineurs, mais sur son système de proof of work (POW) ; autrement dit, c’est un Bitcoin dont la décentralisation se manifeste dans l’infrastructure sous-jacente formée par les mineurs.
Les mineurs, en tant que partie de ce système, sont des agents de marché fiables, non pas parce que Satoshi considérait que l’être humain était naturellement « bon », mais parce qu’il savait que les principes de l’économie priment sur les bonnes intentions puisqu’ils sont le reflet (que nous avons appris à connaître) de la réalité. Il est donc clair que je ne parle pas de l’actif que tout le monde connaît sous le nom de Bitcoin : je ne parle pas du Bitcoin-BTC.
La branche de Bitcoin que je défends
Quand je parle de Bitcoin dans les termes que j’emploie dans les paragraphes précédents, je fais référence à l’IDÉE qui a été formulée sous ce nom. Une idée avec un contexte historique et qui continue d’avoir des partisans. Cette idée vit toujours dans Bitcoin Cash (BCH). Que cela plaise ou non aux maximalistes du Bitcoin-BTC, BCH est une autre branche de ce projet. C’est la continuation de cette vision, et de la façon de penser qu’avaient les premiers bitcoiners.
Une branche qui, en 2017, est devenue un réseau P2P indépendant du Bitcoin-BTC (c’est-à-dire, une cryptomonnaie différente en termes de nom) même en sachant que cette décision impliquerait de devoir reconstruire une grande partie de l’infrastructure et reconquérir l’adoption qui avait été atteinte jusque-là. Mais c’est aussi une branche qui valorise suffisamment ces idées « classiques » pour les mettre en pratique.
C’est cela Bitcoin Cash (BCH), et je suis convaincu par ces idées. La vision de la branche Bitcoin Cash du projet Bitcoin en vaut la peine selon moi, car je sais que sa conception de BCH comme monnaie décentralisée pouvant être utilisée dans le monde entier comme moyen de paiement numérique est ce dont l’humanité aura besoin à moyen et long terme.